CPC Backlog Event

Salut !

Voici ta liste pour l'Event !

The Bureau : X-com declassified (10h30) : Ça tombe bien je l'ai aussi on pourra en parler !
The Darkness 2 (6h) : Bon petit fps que j'avais adoré mais j'adore le comics ;-)
Deadlight (4h) : Un jeu fini en 4h c'est cadeau et en plus j'aime la DA
Brothers : a the tale of two sons (3h) : deuxième cadeau : rapide et facile !
The Night of the Rabbit (9h30) : Pour une thématique des bêtes tout est dans le titre !

Bon jeu à toi !

Non terminé.

Non terminé.

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://tof.cx/images/2018/05/07/9a0146ea608dcbc381fa27f9690f7f9f.jpg

Commentaire :

Terminé Deadlight. Je dirais que ce jeu souffre de son très grand classicisme. Le scénario, c'est du essoré jusqu'à la moelle de zombies, avec cette histoire d'un bourru barbu qui doit faire face à des hordes de carnivores agressifs et à ses démons intérieurs. On aura aussi droit au groupe de para-militaire dingos, ayant un point de vue radical sur l'avenir de l'humanité, et à la fameuse zone de sécurité à rejoindre tel un Eldorado mythique, mais existe-t-elle vraiment ?? (suspense insoutenable)

Côté gameplay, très classique aussi. De la 2D plutôt pas mal avec des zombies à éviter, de la plate-forme, des sortes de mini-puzzles mettant à profit les dons d'observation et les réflexes du joueur. Le jeu tente de se diversifier en rajoutant des armes et finit par tourner à Fort Boyard avec un type qui nous colle des pièges partout. Il y aura aussi quelques mini-séquences de coopération... Dans l'ensemble, j'ai trouvé le jeu honnête mais sans plus, et je me serais sans doute lassé s'il avait duré plus longtemps.

Terminé le : 07/05/2018

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://tof.cx/images/2018/05/16/009cd87e5331505f94114d6e6bd08807.jpg

Commentaire :

Je ne ferais pas l'affront de détailler ce jeu que probablement tout le monde connait. C'est un joli conte qui n'a su qu'entamer d'un léger coup de canif mon cœur de pierre. Il faut dire qu'il est précédé par sa réputation. J'ai apprécié la façon dont le gameplay et l'histoire sont au service l'un de l'autre. Cette mécanique de jeu (contrôler deux personnages sur une même manette) représente l'idée même de solidarité, et quoi de plus joli qu'une fraternité si complémentaire qu'elle s'incarne en la main gauche et droite du joueur ?

Le jeu se termine assez rapidement car il n'est pas bien difficile, mais ça vaut mieux que de se montrer punitif avec des persos qui se cassent la gueule toutes les deux minutes (ici, il est presque impossible de tomber). Ça rendrait le jeu infernal et nuirait à l'ambiance et au message qu'il cherche à transmettre.

Terminé le : 16/05/2018

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://tof.cx/image/Z1IfD

Commentaire :

Alors que l'été étire sa chaleur languissante sur les derniers jours de vacances, Jerry La Noisette, 12 ans, trouve une bien étrange lettre à son nom. Celle-ci contient une recette magique sous forme de poème, qui lui promet d'accomplir son rêve le plus cher : devenir magicien !

J'ai débuté ce point & Click en trainant un peu de la souris, n'étant pas d'humeur à réfléchir. Mais peu à peu, les décors enchanteurs, les musiques entrainantes, la thématique proche "d'Alice au pays des Merveilles" avec ce grand Lapin Blanc en haut de forme toujours pressé et ces animaux pittoresques peuplant le "Bois aux souris", ont su me séduire. Le jeu dégage une sensation diffuse de nostalgie douce-amère, sur l'enfance qui s'enfuit, la nature qui disparait au milieu des tours bétonnées, l’innocence et la solidarité qui se délite au fil du cours de la Bourse... Des thèmes abordés en filigrane, sans lourdeur démonstrative, le cœur du récit restant un conte pour enfant. Bref, le jeu a vraiment beaucoup de charme.

Après, ça faisait longtemps que je n'avais pas autant ramé sur un jeu d'aventure ! Ce n'est pas tant les énigmes qui sont absurdes, mais le jeu souffre souvent d'un manque d'objectifs clairs, alors que Jerry accède à un grand nombre de lieux (le Bois aux Souris) et que les objets sans objet s'accumulent dans son inventaire. On se retrouve souvent à errer de lieu en lieu, trainant une souris hasardeuse sur l'écran, comme au temps des années 90... La fin du jeu, en bloquant le héros dans des écrans fixes, s'avère par contre beaucoup plus (trop ?) facile.

Le jeu propose aussi pas mal de bricoles inédites dans le genre, comme des gouttes de rosée à collecter, un jeu de carte proche des 7 familles, ou encore des contes audios à dénicher. J'apprécie l'effort, mais j'avoue que ça ne m'a pas vraiment intéressé, j'ai donc fait l'impasse sur ces bonus. Mais j'ai passé un bien agréable moment au milieu des statues qui murmurent, des papillons de nuit qui couvent, des taupes qui jouent au DJ ou encore des renards facétieux... Et comme dit le Marquis de Hoto : rien n'est impossible en deux jours de vacances !

Terminé le : 13/05/2018

Avec un très léger retard, voici la liste. La consigne étant "des jeux courts" (et vu le retard), j'ai rien choisi au-delà de 5h selon Howlongtobeat, à part pour le jeu bonus animalier. J'ai tapé dans les jeux qui ne semblaient jamais avoir été lancé ou presque.

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://tof.cx/images/2018/11/09/a1984534841744dd8cb44deca06adbc9.jpg

Commentaire :

On incarne une personne faisant des recherches sur une affaire criminelle. Sur un ordi tout droit sorti des années 90 (très belle imitation d'écran cathodique), on accède à une base de données répertoriant les extraits des interrogatoires de la suspecte. Pour visionner ces vidéos, il faut les trouver en usant des bons mots clés, la recherche se limitant à 5 extraits par mot clé. Pour parvenir à reconstituer l'affaire, Il faudra donc gagner en précision et en pertinence afin de dénicher les vidéos importantes, les mots clés "neutres" ou bateaux n'apportant que des vidéos anodines...

Dans Her Story, l'auteur propose un travail sur la narration, auquel participe activement le joueur, car ça sera à lui de reconstruire le récit, suivant ses découvertes (rarement chronologiques). L'histoire parait de prime abord peu crédible voire abracadabrante, mais le jeu se révèle plus subtil qu'il n'y parait. En fait, comme dans toute enquête criminelle ou procès, on ne sait jamais où se cache vraiment la vérité. Même en ayant visionné toutes les vidéos, le récit conserve suffisamment de zones d'ombres et d’ambiguïtés pour laisser place aux doutes, aux interprétations multiples. Il reviendra donc à chaque joueur de juger l'histoire de cette femme, de se forger son "intime conviction", en quelque sorte. L'ensemble fonctionne grâce à l'excellente interprétation de l'actrice, qui propose un jeu nuancé et précis, qu'on a rarement vue dans les FMV.

Cela dit, d'un point de vue purement ludique, ça reste limité : des mots clés, des vidéos et basta. Je dirais que Her Story fait partie de ces jeux-expériences, plus intéressant qu'amusant (ce qui n'est déjà pas si mal).

Terminé le : 09/11/2018

Evaluation : Bien aimé

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Commentaire :

J'ai galéré grave pour y jouer dans des conditions acceptables, en me posant les questions métaphysiques d'usage face aux options : contrôle "tank" ou moderne ? Ecran 4/3 ou 16/9 ? Et la difficulté ? Après bien des essais, je me suis décidé pour le tout "Old School". Les contrôles modernes permettent de slalomer entre les ennemis avec l'aisance de Usain Bolt en petites foulées, ce qui ne me semble pas l'esprit dans lequel a été conçu le jeu. Une fois ce choix décidé, j'ai galéré pour trouver comment y jouer. Le clavier, j'ai pas l'habitude, et la manette X-Box 360 dispose d'une croix directionnelle à chier. Quant au stick, c'est encore plus atroce pour ce genre de contrôle. Finalement, j'ai ressorti une manette à l'ancienne, achetée spécialement pour les vieux jeux, avec une vraie croix directionnelle, mais là, j'ai du lutter contre Joytokey qui, pour une raison ou une autre, ne fait pas bon ménage avec ce Resident Evil HD.... Mais bon, après avoir recommencé l'introduction 15 fois en multipliant les essais, je suis enfin parvenu à quelque chose d'acceptable ! (cela dit, je n'ai jamais réussi à relocaliser le bouton de l'inventaire...)

Et le jeu dans tout ça ? Aussi excellent que dans mon souvenir. Mon souvenir datant de la première version, en 1996, quand les boucles blondes frisottaient sur mon front pur d'adolescent ! Resident Evil nous plonge dans un opus inédit du "Retour des morts-vivants" : un manoir lugubre, des zombies, des chiens infernaux, des choses putrides aux dents acérées... Surtout, le jeu a tout compris au genre. Avec sa caméra fixe, placée à des endroits improbables, il a compris l'art du hors-champ, son importance pour développer un sentiment d'angoisse diffus et permanent. A chaque ouverture de porte, notre petit cœur se serre, inquiet à l'idée des horreurs possibles, tapies dans la pénombre. Le jeu a saisi l'intérêt de la pénurie : munitions parcimonieuses, herbes médicinales à gérer en fonction des besoins, places d'inventaire riquiqui et - idée géniale ! - des sauvegardes très limitées à des lieux bien précis. Enfin, le jeu a compris que l'horreur, c'est avant tout une question d'atmosphère. Il n'abuse jamais des "jump scare" au rabais, ceux-ci étant même souvent annoncés à l'avance, ce qui augmente d'autant notre anxiété (du style : un zombie qui cogne à une fenêtre... Une poignée de porte qui s'agite... Argh.) Le vaste manoir de Racoon City devient rapidement le personnage central du jeu. A force d'arpenter sans cesse ses couloirs sordides, de découvrir ses secrets alambiqués (passages secrets et documents macabres), de nettoyer ses pièces des créatures immondes, le joueur se l'approprie, comme un lieu familier et rassurant... jusqu'au moment où...

Je n'aurais vraiment que deux reproches. Dans la deuxième partie du jeu, les allers/retours deviennent plus pesants surtout si, comme moi, vous êtes une mauviette qui ne prend que les chemins sécurisés, quitte à faire des détours fastidieux. Mon autre regret tient plus à des raisons nostalgiques : le jeu de 1996 débutait par une séquence digne d'un film d'horreur de série Z, jouée par des acteurs approximatifs débitant des répliques abominables. Dès les premières minutes, j'étais sous le charme ! En tant que fan de FMV et d'horreur (quelque soit la lettre de l'alphabet), je regrette cette séquence culte, remplacée par une cinématique tout aussi naze mais bien moins fun. Mise à part ces deux petits détails, j'ai pris grand plaisir à rejouer à ce grand classique, à mon sens indémodable.

Terminé le : 25/11/2018

Evaluation : Bien aimé

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Commentaire :

Alors que vous coursez un bison dans la vaste plaine, un desperado tue toute votre famille et incendie votre Ranch. Votre six coups crie vengeance ! C'est sur ce prémisse de Western des plus classiques que commence Westerado, un jeu qui saura vous transformer de pied-tendre en gâchette la plus rapide de l'Ouest. Ou pas. On peu très bien terminer le jeu en évitant les tueries (à l'exception de la séquence finale), la caractéristique principale de Westerado étant d'offrir une liberté totale au joueur. On peut donc faire équipe avec l'armée, choisir plutôt les indiens, prendre parti pour les éleveurs ou pour la compagnie pétrolifère locale... Et l'Ouest sauvage étant sans pitié, on peut aussi tuer tout le monde, même en plein milieu d'une conversation ! Décrit de cette façon, on pourrait s'imaginer que Westerado est le meilleur RPG du monde. Attention ! Vous risquez d'être déçu, un peu comme je l'ai été lors de mes premières heures de jeu. Il s'agit avant tout d'un petit jeu d'action/aventure aux mécanismes très simples. Le personnage n'évolue pas au court de l'aventure. On gagne de l'argent avec lequel on peut acheter des chapeaux et des armes, mais ces chapeaux sont simplement des "vies" (au nombre de 3) et les armes sont très peu nombreuses et sans grand intérêt, la meilleure étant celle de base : le revolver, rapide à recharger. En cas de mort, on se réveille chez son oncle avec une simple diminution d'argent (qu'on peut éviter en plaçant celui-ci à la banque). Cet aspect du jeu présente sans doute un plus grand intérêt en mode "Iron Man", où la mort permanente incite à s'acheter des chapeaux...

De plus, le nombre de "quêtes" s'avèrent assez vite limité, peu varié (tuer ou ne pas tuer), et la carte du "monde" s'explore en une poignée d'heures. Il y a des zones du jeu sans mission particulière, comme le désert, le village fantôme la forêt... Il est facile de foirer ces quêtes, ce qui peut se révéler très frustrant pour les adeptes de la solution "optimale" dès la première partie. Parfois, l'enchainement ultra précis des actions à effectuer est carrèrent cryptique et le moindre écart fera échouer notre objectif.

Dans le fond, Westerado se joue comme une partie de "Qui est ce ?" le jeu de société de Hasbro. A chaque mission remplie, quête accomplie, un personnage nous donne un indice pour identifier notre cible : il porte un chapeau à large bord, un ceinturon doré, un foulard rouge... Le desperado étant aléatoire à chaque partie. Il peut s'agir de n'importe quel PNJ déambulant dans la ville. Une fois notre cible identifiée, on l'accuse et celle-ci prend la fuite, ce qui déclenche la séquence finale, débouchant sur le combat de Boss. Suivant nos actions en cours de jeu, les raisons du tueur seront différentes lors de la cinématique de fin... On voit donc que le jeu gagne à être refait, pour tenter les différentes approches.

Côté graphismes et musiques, le jeu développe une ambiance western très sympathique et convaincante. On aime à trainer dans ce monde ouvert sans objectif particulier, à part dessouder quelques inconscients n'ayant pas encore appris à connaitre notre colt. Ça reste du très gros pixels mais avec une jolie et chatoyante direction artistique. Dernier point qui fâche : il n'y a pas de VF et la VO est assez désagréable à lire, car elle cherche à retranscrire l'accent et l'argot des cowboys. On se tape donc des "mah" au lieu de "my", "yeh" au lieu de "you", sans compter les lettres qui sautent à coup d’apostrophes.... Ces errements syntaxiques ne gênent pas trop la compréhension globale du jeu (qui ne repose pas beaucoup sur ses dialogues), mais la lecture n'en demeure pas moins pénible.

En dépit des nombreux points contrastés soulevés ici, j'ai bien apprécié Westerado, surtout lors de ma deuxième partie, quand j'ai su l'apprécier pour ce qu'il était (un jeu d'action et d'enquête rigolo) en faisant mon deuil de ce qu'il n'était pas (le RPG ultime en gros pixels).

Terminé le : 09/11/2018

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://tof.cx/images/2018/11/12/7cdc7e52a61b329b3d15a0f2b86acc37.jpg

Commentaire :

Dans un monde post-Apocalyptique, Une scoute toujours prête, accompagnée d'un chien, explore les rives abandonnées d'un fleuve à la recherche des derniers lambeaux de l'humanité.

Il s'agit d'un jeu de survie. Le joueur se lance donc hardiment sur son radeau de fortune, devant affronter les eaux tumultueuses du fleuve sans sombrer, pour ensuite accoster des îlots plus ou moins riches en ressources. Les dangers sont variés : les maladies, les animaux sauvages, la famine, la déshydratation, l'épuisement. Il faudra donc fabriquer des médicaments, des bandages, créer des pièges à lapin, récolter de l'eau... Le plus difficile consistera à bien gérer son inventaire très limité et savoir prioriser les taches suivant les besoins du moment. Il faudra également coudre des vêtements pour affronter le froid, améliorer son radeau mis à mal par les rapides, construire des outils... Bref, du très classique, pour un jeu de ce type, l'originalité étant qu'on avance en permanence au fil de l'eau, sans retour en arrière possible.

J'ai joué à The Flame in the Flood une dizaine d'heures sans déplaisir, mais je ne pense pas que j'y reviendrais. Plusieurs raisons à ça. Déjà, le jeu offre très peu de narration. Il s'agit vraiment du minimum absolu : quelques textes sur des toiles abandonnées, une rencontre ou deux, un vague rebondissement, et voilà. Sans cette carotte narrative, le jeu perd vite sa fraicheur, peine à se renouveler, les îles (générées aléatoirement) se ressemblant toutes et contenant les mêmes types d'ennemis : loups, sangliers, serpents, ours. The Flame in the Flood échoue à varier les situations, susceptibles de maintenir notre intérêt en éveil. Une fois la gestion des ressources bien en main, plus rien ne menace vraiment, à part l'ennui... Le jeu fait bien quelques tentatives en jouant sur le climat : zone désertique (manque d'eau), pluie torrentielle (froid, maladie), présence animale accrue... Rien d’insurmontable, ni même d'inquiétant, pour un joueur ayant saisis les bases d'un stock bien géré.

J'ai sans doute fait l'erreur de lancer ma partie en "normal". Cela dit, je pense que la difficulté n'a d'influence que sur les premières heures de jeu, les seules vraiment tendues. Maintenant que je maitrise le gameplay, je ne crois pas qu'une partie au niveau supérieur m'apporterait une expérience bouleversante. Il faudrait s'imposer des contraintes ou des défis à soi-même, ce qui n'a jamais été ma tasse de thé. Notons enfin que le jeu souffre de bugs franchement agaçants, et d'un système de "missions" sans intérêt car le joueur n'en tire aucun bénéfice, à part une case cochée. En conclusion : divertissant quelques heures, mais vite limité.

Terminé le : 12/11/2018

Je pars du principe que tous les jeux sans indication de temps sur Steam n'ont pas été joué. Je donc propose à Tigri :

Fran Bow (7 heures selon HLTB ) : un excellent point & click à l'ambiance à la fois naïve et glauque, qui peut faire aussi office de jeu Halloween.

FTL: Faster Than Light : Le présente-t-on encore ? C'est le jeu où, si on accroche, on peut y passer une éternité. Dans le cadre de cet event, je te propose de vaincre le Boss une fois en mode facile.

Her Story : Un jeu d'enquête narratif en FMV au concept original (2 - 3 heures)

Mirror's Edge (6 heures) : Un jeu qui saura te faire courir !

Batman: Arkham Asylum Game of the Year Edition (12 heures) : Tu as presque tous les Batman et tu n'as joué à aucun ?? Il est temps de commencer ! Celui-ci (comme les autres) saura te mettre dans la peau du chevalier noir, prompt à péter des rotules. Et puis c'est celui qui comporte les meilleures énigmes de l'Homme Mystère.

Evaluation : Bien aimé

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Commentaire :

Un excellent point and click, avec une histoire magnifique et originale. Ce mélange d'horreur et d'innocence qui peut intervenir dans la même scène, des énigmes jamais trop dures, des graphismes colorés... J'avais plus autant aimé ce genre de jeu depuis Sam & Max.

Terminé le : 13/11/2018

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

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Commentaire :

Le gameplay est pas exceptionnel, on regarde les vidéos du suspect d'un meurtre en essayant de comprendre ce qui s'est passé et en trouvant les bons mot-clés qui feront apparaître les vidéos suivantes, mais j'ai bien aimé l'intrigue et en quelque sorte mener l'interrogatoire. Pas très long mais suffisant.

Terminé le : 13/11/2018

Non terminé.

Non terminé.

Blackwell Unbound : Un point & Click facile, court et bien écrit. C'est le deuxième de la série mais comme il s'agit d'une "préquelle", ça ne pose pas de problème. J'ai choisi celui-ci car il m'a plus marqué que les autres.
Max Payne 3 : Si tu survies à la narration, le jeu propose des gunfights bien sympa et stylé.
Crimzon Clover: World Ignition : Un SHMUP. Je connais pas ! Mais les gens ont l'air de trouver ça bien et il faut varier les plaisirs (de plus, d'après HLTB, il est court)
Metro: Last Light Redux : Je n'y ai pas encore joué, mais le jeu a semble-t-il sa réputation.

En jeu bonus qui se passe à l'étranger, je propose Deponia, un point & Click de qualité (plus difficile et long que Blackwell) qui prouve que les allemands sont aussi doués du sens de l'humour.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/profiles/76561197979814898/stats/BlackwellUnbound/?tab=achievements

Commentaire :

Blackwell Unbound sur PC, c'est :
- un très chouette point'n click dans le style "polar fantastique" avec un rythme apaisant;
- une histoire sympa, et courte, ce qui est un argument pour moi actuellement... (4h en prenant mon temps);
- des personnages bien développés avec un bon doublage anglais;
- des énigmes qui s'enchaînent bien (pour moi qui suis souvent bloqué dans ce genre de jeu, ici tout m'est paru très naturel dans la progression);
- des musiques jazzy de qualité;
- des graphismes 2d à l'ancienne, dans la lignée des productions LucasArts;

Une belle découverte qui m'invite à continuer prochainement la série (que j'ai toute acquise en bundle steam pour 1,80 €... c'est du vol de ma part vu la qualité du jeu ...)

Terminé le : 06/03/2019

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/profiles/76561197979814898/stats/appid/285440/achievements

Commentaire :

Attention, pour les besoins de l'event et à 2 jours de sa fin, je n'ai fini que le jeu en mode novice et avec continue (au dernier boss)... Donc pour les adeptes du 1CC (que je suis) ça ne compte pas.

Par contre je peux déjà affirmer que ce jeu est une bombe !
C'est du pur shoot'em up "à la Cave", fait avec amour pour un fanatique du genre.
ça explose de partout, les bullets inondent l'écran en salves colorées somptueuses, les musiques déchirent, sur 5 stages de folie furieuse avec des boss aux patterns très impressionnants.

Je recommande vivement, surtout à un prix pareil sur steam...

Terminé le : 29/03/2019

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/profiles/76561197979814898/stats/appid/287390/achievements

Commentaire :

Metro Last Light Redux, c'est :
- Les qualités de Metro 2033 sans l'effet de surprise ;
- donc : une histoire sympa, un ambiance et une direction artistique très réussies, certains niveaux franchement mémorables (marais, ville fantôme) ;
- mais aussi : une certaine linéarité et des gunfights un peu mous avec une sensation de "flottement", un manque de punch, de ressenti des tirs...
- une bonne durée de vie pour le genre actuellement (12 heures, mode de difficulté normal)

Content de l'avoir fait, un bon jeu mais pas extraordinaire non plus...
Soit j'en attendais trop ou peut-être suis-je devenu un peu blasé de ces fps solo... et trop nostalgique de Half-Life...

Terminé le : 28/03/2019

Non terminé.

Styx Master of shadows (11h30) : car je l'ai fait pendant un event précédent et que je l'ai beaucoup aimé

Kingdom: New Lands (8h) : car c'est un super jeu à ne pas rater

Hotline Miami 2 (9h) : car il parait que c'est un bon jeu

Beyond The Good And Evil (11h) : car c'est un classique qu'il faut faire dans sa vie

Dead Space (11h) : pour le thème

Si jamais un jeu ne te convient pas du tout n'hésite pas à la dire.

Bon jeu

Evaluation : Bien aimé

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Commentaire :

Je n'ai pas forcément une grande expérience en terme de jeux d'infiltration, mais il s'agit sans nul doute du plus difficile auquel j'ai joué. Il est vrai que j'ai fait le jeu en mode "Gobelin", dans lequel le combat ne s'envisage pas : un gobelin attrapé au collet est un gobelin mort. Souvent, dans les jeux de ce types (de Deus Ex à Mark of the Ninja, pour faire vite...), on s'arrange pour isoler sa cible, on s'insinue dans l'aimable conduit d'aération qui court-circuite les situations fâcheuses, on utilise divers gadgets et autres capacités spéciales qui apportent au final une impression de puissance... On domine, on joue au chat et à la souris.

Dans Styx, ça n'a jamais vraiment été le cas. Je me suis toujours senti faible et fragile. Bien souvent, on se retrouve dans des situations proches de l'inextricable si on ne fait pas attention. Des salles bourrées de gardes, bien éclairée, très difficile à manœuvrer, et notre pauvre farfadet vert planqué sous une table ou dans une armoire ! Il y a bien des pouvoirs et des armes utiles, mais on ne peut pas vraiment abuser de leur utilisation, notre inventaire étant des plus restreints. Bref, je ne me suis jamais senti comme le prédateur ultime, à l'aise en toutes circonstances telle une ombre intouchable (même en fin de partie). L'IA des gardes n'a pas inventé la poudre à couper l'eau chaude, mais on sait que dans ce type de jeu, une IA trop "réaliste" rendrait la chose tout bonnement injouable.

Côté défaut, je dirais que le scénario, très survolé, ne m'a pas vraiment passionné. On sent qu'il s'agit d'un univers riche, un monde développé avec ses différentes races, ses luttes de pouvoir, le tout tournant autour d'une ressource magique et spirituelle : l'ambre. Mais le scénario n'explicite rien. C'est un peu comme si on lisait un chapitre chopé au hasard au milieu d'une saga Dark Fantasy en dix volumes. Du coup, l'histoire de Styx, sa malédiction, l'arbre à ambre, les relations entre humains et elfes, les enjeux politiques d'un monde au bord de l'effondrement... Autant d'éléments à peine suggérés et expédiés en quelques cinématiques.
L’imprécision des sauts et l'aléatoire des séquences de "plateformes" ont aussi été source de pas mal de frustrations. Je suis tombé un bon paquet de fois pour des erreurs de perspectives et je n'ai toujours pas compris comment faire pour que ce couillon de gobelin s'accroche à une corniche au lieu de commettre un suicide. Parfois il s'accroche, parfois il se laisse tomber comme une pierre en m'insultant ! Enfin, je n'ai découvert certaines fonctions essentielles que très tardivement dans le jeu (siffler, par exemple, qui ouvre tout un champ de possibilités), le tutoriel n'en faisant même pas mention.

Autre défaut de conception, mais venant de moi sans doute : j'ai eu beaucoup de mal à me diriger dans ces décors labyrinthiques, avec pour seule indication une carte douteuse et une vague flèche pointant dans la bonne direction. Or, lorsqu'on peine à éviter des gardes en frôlant les murs et la catastrophe à tous moments, difficile de trop se perdre à la recherche du prochain objectif. Il y a aussi pas mal de recyclage d'ancienne map et des décors très semblables, mais ça participe à l'ambiance poisseuse et déprimante du titre. Pour conclure, ce fut ardu, parfois exaspérant, mais j'ai bien apprécié.

Terminé le : 14/03/2019

Evaluation : Bien aimé

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Commentaire :

Fini Kingdom New Lands. Enfin, quand je dis "fini", il me reste à débloquer des choses et faire l'île Skull, mais c'est un DLC.
On incarne donc un roi ou une reine qui doit sauver sa couronne ! Car le royaume est envahi par des créatures démoniaques, avides d'argent, émergeant de portails dimensionnels. Le but du jeu consiste à retaper une épave de bateau (ce qui coute très cher) afin de fuir, couronne en tête, sur une autre île.

Il s'agit d'un jeu de gestion/stratégie aux mécaniques minimalistes. Le joueur contrôle le roi sur son cheval, et celui-ci ne peut faire que deux actions : se déplacer et payer. La carte de chaque île est générée aléatoirement. On n'a pas le choix de l'emplacement des bâtiments, seulement de les construire ou non. Un petit tertre permet de bâtir une palissade, un rocher, une tour de guet, un filet d'eau sert de base à une ferme, et c'est à peu près tout. Les autres bâtiments se débloquent automatiquement en améliorant son camp de base ou en explorant les différentes îles. Donc, il faut gérer son capital de pièces d'or afin d'améliorer les fortifications, notre base (qui peut se transformer en château) devant résister aux assauts de plus en plus féroces des créatures avides d'or et de destructions.

Pour gagner cet or, il faut engager des manants qui trainent sans but dans quelques villages de l'île. Ensuite, ceux-ci peuvent devenir des chasseurs/guerriers, si on leur paye un arc, ou des artisans, si on leur paye un marteau. Les chasseurs rapportent des sous en chassant le lapin ou la biche, les artisans construisent et entretiennent les fortifications. Il existe deux autres fonctions possibles : agriculteur (achat d'une faux), activité aussi lucrative, et chevalier, pour effectuer des raids sur les portails dimensionnels secondaires. Bref, en partant sur une base très simple, le jeu se complexifie gentiment, à l'image des îles de plus en plus grandes. Elles sont toutes constituées de manière semblables. A une extrémité se trouve le portail à démons ; à l'autre bout, le quai d'embarquement. Au fil des îles (qui sont au nombre de 5) des portails secondaires s'ajoutent, d'où la nécessité de les détruire avec l'aide de nos chevaliers, afin de limiter les attaques incessantes.

Un jeu intéressant donc, mais qui n'est pas dénué de défauts. Déjà, il n'y a pratiquement pas de tutoriel. On va me dire que le fun réside dans l'expérimentation. Peut-être. Si on a l'éternité devant soi et un seul jeu sous la main... Mais moi, j'ai un backlog à vider ! Du coup, je n'ai pas hésité à consulter des guides pour apprendre la fonction de chaque structure (au grès de mes découvertes). Le jeu ne permet pas de sauvegarder à volonté et si on perd sa couronne (volée par un démon cupide), notre partie est fichue. On peut bien refaire l'île avec un nouveau roi mais il faudra alors repartir de zéro, le roi emportant toujours avec lui quelques ressources (hommes et argent) d'île en île. Sans ces ressources, il devient très difficile de tenter sa chance sur les derniers niveaux. Encore une fois, comme je ne vis pas dans un jour sans fin, je n'ai pas hésité à truander les sauvegardes automatiques tel un fourbe, avec du Alt Tab en cas de situations foireuses. La simplicité des mécaniques ont aussi leur mauvais côté. L'essentiel de notre activité durant une partie consiste à cavaler d'un bout à l'autre de la carte, avec un cheval qui s'épuise vite, pour recruter de la main d’œuvre. Les îles étant de plus en plus vastes, ces cavalcades finissent par devenir pesantes, pour ne pas dire lourdingues. Enfin, les situations auxquelles on fait face n'incitent pas vraiment le joueur à varier sa stratégie. Par exemple, le meilleur moyen d'engranger de l'argent consiste à engager des masses de chasseurs et à couper des arbres pour créer des plaines à lapins. L'intérêt de l'agriculture s'en trouve fortement réduit : trop chère, trop fragile, pas assez de rendement. L'arrivée de l'hiver pourrait inciter aux changements, car il signe la fin de nos revenus liés à la chasse et à l'agriculture. Mais il faut vraiment trainer une éternité sur la map avant d’apercevoir le premier flocon...

Côté technique, rien à redire : les graphismes sont en joli pixel art, et les musiques, de qualité, font du jeu une expérience relaxante.
Malgré les défauts décris ci-dessus, Kingdom New Lands s'avère assez prenant et je pense pousser l'expérience jusqu'à débloquer tous les bâtiments et, une fois bien équipé, affronter crânement le DLC.

Terminé le : 19/03/2019

Evaluation : Pas aimé

Preuve : https://tof.cx/images/2019/03/31/706f8339f1fb4b46eb3a8c077ea1711f.jpg

Commentaire :

Bon, j'ai fini What Remains of Edith Finch et de mon côté, ce qu'il en restera, c'est trois heures d'ennui (avec une pointe de motion sickness sur la fin). Je reconnais que le jeu travaille sa narration, et j'ai au moins aimé une idée de réalisation (la référence au magazine "les contes de la crypte". Mais dans l'ensemble, je me suis senti peu impliqué et j'avais hâte que ça se termine. C'est peut-être le manque de réalisme de cette histoire qui m'a fait décroché assez vite. Le jeu demande peu au joueur, mais j'ai trouvé le peu qu'il demande plutôt pénible à exécuter, souvent des actions répétitives et sans intérêt. J'ai préféré Ethan Carter, mais pas de beaucoup non plus. Je dois être hermétique au genre...

Terminé le : 31/03/2019

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://tof.cx/images/2019/03/27/e5befea6811c70b13db1748574a96574.jpg

Commentaire :

Voilà, j'ai enfin joué au jeu doublé par Emma de Caunes ! Je parle évidemment de Beyond Good & Evil, un titre de 2003 ayant marqué les mémoires par la voix de la pétillante brunette... Ma mémoire en tout cas. Il faut dire que, dans ma jeunesse chevelue, j'avais comme qui dirait un faible pour la mutine et adorable fille de Pine d'Huitre (mais à l'époque, qui aurait refusé de partager une tablette de crunch avec elle ??). Je ne savais rien d'autre du jeu, à part qu'il dispose d'une excellente réputation et des souvenirs attendris de toute une génération (et pas seulement à cause d'Emma, semble-t-il).

Réputation méritée ? Je dirais que ce jeu illustre à merveille la formule : "L'ensemble vaut mieux que la somme des parties". Son gameplay mise sur la variété, avec des séquences de combat, infiltration, plate-forme, puzzle... sans vraiment briller dans aucun de ces domaines. Le titre n'est pas bon à rien ; il est moyen en tout. Le combat se résume à un bouton d'attaque, un bouton d'esquive et une "charge lourde" totalement inutile, passé le tutoriel. L'infiltration s'avère très simpliste. L'héroïne se balade sous le nez de gardes sourds et aveugles, exécutant des rondes sommaires (quand ils ne tournent pas carrément le dos). La plate-forme mise sur l’assistanat, avec sauts et rattrapages automatiques. Quant à la partie "puzzle", je suis perplexe. A part à la fin, où il faut tripatouiller quelques miroirs pour avancer, je n'ai jamais eu l'impression d'un jeu faisant appel à mon intellect. Pour finir avec les fâcheries, je noterai aussi une caméra parfois (souvent ?) à la ramasse et une arme d'attaque à distance dont la visée, beaucoup trop sensible à la manette, tient du calvaire. Mais ce dernier point vient peut-être de nos PC High Tech du futur, le jeu nécessitant son lot de bidouillages pour fonctionner correctement sur Windows 10. Et, dernier point, un monde "ouvert" de point & Click, bien riquiqui, comparé à tout ce qui a existé par la suite.

MAIS (oui, il y a un mais, rangez les fourches !) Beyond Good & Evil excelle sur un point qui sublime tout le reste : il a une excellente direction artistique. Déjà, en dépit de ses 16 ans d'âge, le titre reste très agréable à parcourir. Le monde de Hillys est coloré, lumineux, composé d'îlots cerclés d'une mer bleu-azur à la faune exubérante. Les personnages sont charismatiques : Jade, l'intrépide reporter aux cheveux courts et aux lèvres vertes comme ses yeux... Pey'J, le cochon fort en gueule, tout droit sorti d'un dessin-animé de Miyazaki, Double H, le militaire psycho-rigide qui se réfère sans cesse aux articles de son manuel fétiche "Carlson et Peeters" ! Le jeu dégage une personnalité très accrocheuse avec ces ses personnages animaliers amusants, Jade croisant sur sa route des morses asiatiques ou encore des Rhinocéros rastafari... Musiques et doublage (Emma !) sont au top, même si on peut regretter que l'ensemble des dialogues n'est pas été doublé... Un scénario simple et fédérateur enrobe le tout : la lutte contre une dictature rampante, appareil photo en main. La variété du gameplay permet de ne jamais s'ennuyer et sa simplicité fait du jeu une expérience très accessible, sans apprentissage laborieux (j'ai particulièrement apprécié les courses d'Hovercraft, bien fun en mode cockpit). Beyond Good & Evil évite aussi l’arnaque à la durée de vie rallongée à l'eau, sorte de cancer des "mondes ouverts" modernes. Le joueur n'est jamais accablé de quêtes annexes répétitives et il ne devra pas récolter des millions de "collectibles" qui jonchent le sol. On a bien la possibilité de chercher des perles ou de prendre des photos d'animaux, mais ce sont des missions secondaires élaborées, toujours intéressantes.

Bref, même si je ne suis pas aussi enthousiaste que les avis lu ici ou là (le train de la hype m'a laissé en gare il y a 16 ans...), j'ai apprécié l'aventure avec Jade et ses compagnons, entre humour et émotion, dans un monde bigarré et attachant proche du film d'animation.

Terminé le : 27/03/2019

Non terminé.

Styx: Master of Shadows - Pour errer dans les ombres tel un farfadet fourbe.

Ori and the Blind Forest: Definitive Edition - Pour visiter des décors chatoyants dans un Metroïdvania classique mais plaisant.

Hotline Miami : pour se défouler !

Dex : pour un peu d'Action/RPG façon cyberpunk, mais version light.

Primordia : Pour le thème et parce que c'est un bon petit point & click.

Non terminé.

Evaluation : Pas aimé

Preuve : fhtagn

Commentaire :

Médiocre, voire mauvais.

Terminé le : 07/03/2020

Evaluation : Bien aimé

Preuve : fdsqdf

Commentaire :

Bien mais à mort les snipers hors champ.

Terminé le : 02/03/2020

Non terminé.

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : bob

Commentaire :

Bonne ambiance mais je n'ai clairement pas été fan des énigmes, dont trop de chasse au pixel dans du marron sur marron.

Terminé le : 15/02/2020

The warlock of firetop Mountain : on commence gentiment avec du pas trop bourrin

Into the breach : puis on fait chauffer les neurones

Assault Android Cactus : après ça on se vide les neurones sur cet excellent arena shooter

Yoku's Island Express : du metroidvania/flipper à la cool

Mini Metro: pour le thème

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/profiles/76561198025195004/stats/324740/?tab=achievements

Commentaire :

Il s'agit de l'adaptation d'un livre "dont vous êtes le Héros" par les célèbres Steve Jackson et Ian Livingstone, premier opus de la non moins célèbre série "Défis Fantastiques". Enfin, célèbre pour qui a été jeune dans les années 80 - 90. C'est donc un voyage au pays de Nostalgia que propose ce jeu, en nous replongeant dans nos après-midi fébriles d'adolescents gavés de Tang et de Savane, complaisant sur les lancés de dés et l’œil baladeur sur les chapitres à choix cornéliens.

En ce sens, c'est une adaptation parfaitement réussie : on y retrouve les textes, les illustrations et cette ambiance si particulière, impitoyable, la curiosité étant à 80% un vilain défaut dans ce type d'ouvrages. Mais avec un supplément d'âme tout de même, qui permet à ce jeu d'être à la hauteur de nos souvenirs émus. Déjà, on choisit un personnage sous forme de figurine, ayant sa propre histoire, sa personnalité et un objectif précis. Ce détail ajoute une implication qui n'existait pas dans l’œuvre d' origine, toujours très vague sur le héros (car le héros, c'est vous). Ensuite, notre figurine se déplace case par case dans les dédales de la Montagne de feu comme sur un plateau, notre personnage ponctuant ses découvertes de commentaires inédits.

Les combats sans intérêt des livres, car entièrement basés sur les statistiques et le hasard, sont rendus plus captivants ici. Ils nécessitent d'anticiper les mouvements de l'adversaire afin d'éviter l'affrontement direct. C'est du tour par tour peu élaboré mais suffisant pour amuser, d'autant que nos capacités d'attaque varient en fonction de la figurine choisie.

Enfin, le jeu se montre beaucoup moins implacable que son vénérable ancêtre ; il y aura toujours des morts inattendus et injustes au détour d'un couloir, comme au bon vieux temps, mais compensées par des points de sauvegarde qui restaurent notre vitalité, et trois vies avant le Game Over, là où les livres nous renvoyait au prologue au moindre coup de dés malheureux... Car ces livres-jeux étaient conçu (comme leurs contemporains vidéoludiques) pour être rejoué jusqu'à la trame du papier, afin de connaître chaque recoins de la montagne et ses chausses-trappes par cœur, pour, au final, découvrir le chemin unique menant à la victoire... Dans cette adaptation, on peut très bien gagner dès sa première tentative, si on progresse avec prudence.

Bref, j'ai aimé, même si je pense que la rejouabilité du titre, en dépit des efforts des développeurs (des dizaines de figurines à débloquer) reste limitée. Déjà, lors de ma deuxième partie, je sentais poindre la lassitude et lorsque tous les recoins de la montagne sont plus ou moins explorés, tous les textes lus, il n'y a pas vraiment de raison d'y revenir.

Terminé le : 07/03/2020

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

The Beginner's Guide : on commence avec ce Beginner's guide qui serait, semble-t-il, une "expérience" ayant l'avantage de durer une heure et demi !

Ensuite, A Short Hike, histoire de s'aérer en douceur par une balade au grand air (dans les limites des 1 heure/jour autorisée par la loi)

Guns, Gore & Cannoli : Qui dit confinement dit cuisine, je propose donc ce jeu porté sur le hachis en tous genres. Et comme on dit toujours : "Don't forget the cannoli"

Pour le thème de la solitude, je ne vois rien de mieux que The Cat Lady, très bon jeu d'aventure (mais pas point & click) qui saura te déprimer avec une rare efficacité.

The Way nous replonge dans l'ambiance (et le gameplay) de Another World et Flashback... Parfois un poil frustrant, mais j'en garde un bon souvenir dans l'ensemble.

Antichamber : J'ai du mal à croire que tu n'aies pas jouer à ce jeu, toi qui fait partie de la crème des gamers. Je le propose, mais dans le doute voici un second choix : Dex, un action/RPG light style cyberpunk.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://zupimages.net/up/20/46/tvin.jpg

Commentaire :

"Projet" narratif. Suivez l'histoire d'un game designer à travers ses créations.

Si tous les jeux narratifs pouvaient être de ce calibre, je pense que ce serait un genre que je pourrai adorer. Beaucoup d'émotions, de frissons. L'histoire est forte et la manière de la raconter est immersive.

Si vous comprenez un petit peu l'anglais parlé, et que vous avez 90mn pour vous, n'hésitez pas.

Terminé le : 15/11/2020

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://zupimages.net/up/20/46/er2h.png

Commentaire :

Exploration.

Je ne vais pas trop en dire histoire de ne pas gâcher la découverte, mais A Short Hike est un jeu très court, qui laisse pourtant la place à l'exploration afin de s’imprégner de l'atmosphère paisible du titre. Le gameplay est pas incroyable mais il est bel et bien présent, on n'est pas sur un "bête" walking-simulator en vu de dessus. Pas mal de personnages à qui parler, qui nous demanderont de résoudre des quêtes. Une poignée d'énigmes, de la pêche pour ceux qui voudraient vraiment prolonger au plus l'expérience. 1h en ligne droite je dirais, 2h en prenant bien son temps, 3h pour le 100%.

Une très chouette expérience, vendue à un prix ridiculement bas. Je conseille.

Terminé le : 09/11/2020

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://zupimages.net/up/20/47/x7pd.jpg

Commentaire :

Run'n'gun.

Excellente ambiance année 20/zombies pour ce run'n'gun très classique. Et... c'est tout en fait.

Trop répétitif, le jeu propose pourtant une petite dizaine d'armes différentes, ainsi que pas mal d'ennemis. Le soucis selon moi, c'est que le genre est vieillissant, et si certains studios de développement parviennent à faire du neuf avec du vieux, ici c'est pas trop le cas.

C'est pas mauvais, juste sans trop d’intérêt.

Comptez 3h30 pour en voir le bout, sans se presser. Y a des défis et un mode coop à 4, mais pas trop envie d'essayer.

Terminé le : 17/11/2020

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : ça vient

Commentaire :

Another World like.

Bernard vient d'enterrer sa femme. Cependant, il est au courant d'une manière de la ressusciter, loin sur une planète alien. Le temps de prendre sa pelle et le voilà parti avec sa bien-aimée.

The Way est beau. Vraiment très beau. Le pixel-art (bouhhh!!) est magnifique, chaque tableau est un régal pour la rétine. Les musiques sont discrètes mais agréables.

The Way c'est vraiment l'héritier direct de Another World. Même gameplay, en plus souple quand même et heureusement. Même façon d'aborder le game design, à base de die&retry dans des niveaux où s'enchainent exploration, puzzle, plateforme et combats, en beaucoup moins frustrant, sauf les phases de combat qui sont très chiantes. The Way c'est comme Another World, mais en bien plus agréable en 2020.

Mais le soucis de The Way, ce qui m'empêche de penser qu'il s'agit d'un excellent jeu, c'est son rythme beaucoup trop cassé: rapidement dans le jeu, on se retrouve dans un espèce de grand espace clos, où il est nécessaire de réaliser plein de tâches afin de progresser. Y a des énigmes, un peu d'action, faut penser à plein de chose, lire des terminaux, noter des mots de passe. C'est super bien foutu, et après ce passage que j'ai enchainé d'une traite, j'étais aux anges, quelle réussite !

Puis les choses se simplifient, et deviennent bien plus linéaires/mal orchestrées. On progresse pendant 10mn dans de la plateforme, puis 10mn dans du combat, puis un puzzle, puis à nouveau combat, puis puzzle, puis... quel dommage de ne pas avoir proposé quelque chose d'aussi convainquant que ce premier niveau !

Pour le reste, c'est vraiment réussi, l'ambiance est très bonne, l'histoire certes classique mais qui tient la route, et avec sa petite dose de larmichettes.

Une très bonne aventure, mais avec un rythme mal maitrisé.

Preuve:
https://zupimages.net/up/20/48/zc5l.png

Terminé le : 23/11/2020

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://zupimages.net/up/20/46/fnlf.jpg

Commentaire :

Puzzle/réflexion.

Bon on ne va pas le présenter celui-là, tout le monde connait. Mon avis en revanche, le voici: j'en sais rien.

C'est pas souvent que ça m'arrive, mais pour une fois je n'arrive pas à me faire une opinion finie sur Antichamber. Est-ce que j'ai pris du plaisir à y jouer? Oui. Est-ce que je me suis forcé à y jouer? Oui aussi. Est-ce que je le conseillerai? Non, enfin ça dépend.

Je crois que j'ai subi une énorme frustration avec ce jeu, la faute à une énigme pas expliquée qui m'a complètement bloqué et m'a forcé à aller voir une soluce. Une soluce pour un jeu de réflexion, putain, mais où va le monde, 2020, quelle année. J'ai aussi été énormément frustré par la progression, qui te met sur une piste évidente, longue et fastidieuse, pour au final te ricaner au nez "ahah en fait c'est pas là, gros naze, t'as fait tout ça pour rien !". Frustré par ces passages où j'ai triché sans trop savoir si je trichais mais en fait oui. Frustré de l'avoir terminé en 7h alors que toute ma liste d'ami Steam a mis 2h de moins.

Mais à côté de ça, Antichamber est un jeu très bien fichu, avec un début qui se joue de nos sens, de nos perceptions et de nos habitudes, pour petit à petit laisser place à quelque chose de plus traditionnel, plus "puzzle", très bien designé. Malgré la réalisation vraiment cheap (bande son + graphismes = beurk), c'est très immersif et une fois en jeu j'avais beaucoup de mal à en sortir. Même le menu est bien fichu.

Alors peut-être qu'après 7 ans, mon a-priori était beaucoup trop fort et a altéré mon expérience de jeu. Ou peut-être que je suis passé à côté de quelque chose au niveau du level design (saloperie d'énigme, ce traumatisme). Mais perso je ne pourrai pas placer Antichamber sur le même palier que Talos Principle, Portal ou The Witness. Pas loin surement, attention, genre une ou deux marches en dessous. Mais il lui manque un petit quelque chose, un jenesaisquoi, et ça me frustre de ne pas savoir pourquoi.

Terminé le : 14/11/2020

Merci pour la liste super propre !

Axiom Verge : un metroid-like bourré d'excellentes idées qui vaut le détour.
Battle Chef Brigade : je n'y ai pas joué mais il a l'air franchement sympa, en plus d'être super bien noté.
Four Last Things : une brève aventure pointe-et-clique totalement loufoque, dans des décors tirés de tableaux de la Renaissance.
Lara Croft GO : petit jeu de logique qui m'avait agréablement surpris, parfait pour de petites sessions.
Nuclear Throne : de l'action rogue-like hyper péchue, un peu long mais je ne résiste pas au plaisir de te le proposer. Objectif pour le valider : battre Lil' Hunter (boss du niveau 5), tu peux aller plus loin si tu le souhaites.
Unreal : pour finir, un bon vieil FPS qui était magnifique en 1998. Son ambiance, rythmée par les bips du traducteur universel et les musiques signées A. Brandon et M. van den Boss, reste captivante. Accessoirement, aucune âme n'y communique avec nous en langage humain, il cochera donc la case "solitude" de la sélection.
Note : "Unreal Gold" inclut le jeu de base et son add-on "Return to Na Pali". Terminer le premier me semble amplement suffisant dans le cadre de l'event (l'add-on est carrément une deuxième campagne, assez longue en plus).

Non terminé.

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/profiles/76561198025195004/stats/503400/?tab=achievements

Commentaire :

Voilà un jeu aux qualités artistiques extraordinaires. Imaginez un peu : les graphismes ont été conçu par Jérôme Bosch, la musique par Jean-Sébastien Bach et l’animation par Terry Gilliam ! Enfin, plus ou moins. Le style s’inspire très clairement de ce que faisait Terry Gilliam à l’époque du Monty Python Flying Circus : des tableaux de maître découpés et animés, plongeant leurs personnages classiques dans des situations absurdes et surréalistes.

Four Last Thing, création d’un homme seul, mais aidé par les œuvres (libre de droit) des génies de la Renaissance reprend le principe, au service d’un jeu à l’humour ravageur, entre les Monty et Monkey Island. Suite à un cauchemar, le héros (tiré d’un tableau de Van Utrech) décide de confesser ses pêchés, mais les prêtres locaux lui demandent de les commettre à nouveau, afin de pouvoir être absous sur ce diocèse (pour d’obscures raisons administratives). Le but du jeu sera donc de commettre les sept péchés capitaux en semant le chaos dans un moyen-age fantaisiste à la beauté picturale saisissante.

La première séquence, durant laquelle Adam se laisse convaincre de croquer la pomme, est tout bonnement hilarante. Le reste ne sera pas mal non plus, entre non-sens british et humour noir. En fait, le plus gros défaut du jeu, c’est de ne durer (au mieux) que 3 heures ! Cette aventure érudite se conclue même sur une sorte de morale, toute en subtilité. Bref, je crois bien que je vais acheter la suite.

Terminé le : 17/11/2020

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/profiles/76561198025195004/stats/503400/?tab=achievements

Commentaire :

Lara Croft Go fait partie de ce que les spécialistes appellent un Games of Throne, c’est à dire un petit jeu mobile conçu pour être joué sur le trône. Il s’agit d’un jeu de puzzles dans lequel Lara, évoluant sur une sorte de plateau, devra résoudre des énigmes, désamorcer des pièges, éviter ou dézinguer la faune locale, dans le but d’atteindre la sortie et de voler au passage des antiquités précieuses, comme tout bon archéologue qui se respecte. Le jeu est relaxant car il se déroule au tour par tour : chaque mouvement du personnage sur le plateau implique un mouvement des ennemis ou du piège déclenché, sans possibilité de passer son tour. Il sera donc question d’anticiper son parcours afin d’assurer à Miss Croft une sortie sans encombre.

Le jeu s’avère assez facile dans sa quête principale, mais le challenge devient beaucoup plus relevé dans les deux aventures annexes, qui introduisent de nouvelles mécaniques. Celle dans laquelle les bestioles ressuscitent m’a donné bien du fil à retordre, mais je ne suis pas outrageusement doué.

Dans l’ensemble, j’ai beaucoup apprécié, en particulier la façon dont ce petit jeu d’énigmes s’approprie la licence Tomb Raider. En tant que nostalgique des seins coniques et des mouvements en mode tank dans de vastes temples en ruine, j’ai assez bien retrouvé l’atmosphère de la belle époque. Un scénario minimaliste, la solitude, des « secrets » à dénicher dans tous les coins et des tas de pièges mortels à neutraliser... On retrouve aussi beaucoup de références, comme les tenues emblématiques des premiers opus à débloquer, le menu rotatif avec la petite musique… Le jeu a achevé de me séduire lorsque j’ai vu Lara faire la chandelle contre un rebord de façon aléatoire, un mouvement sans aucune utilité qui date du tout premier Tomb Raider.

Terminé le : 17/11/2020

Non terminé.

Non terminé.

Full Throttle : pour le jeu court. Un point & Click Lucasart de la belle époque, façon dessin-animé. Il est presque dans le thème avec le personnage de Maureen !

Ori and the blind forest Un Metroïdvania bien joli.

Frostpunk L'idée étant de finir au moins une partie.

Snake Pass Un jeu de puzzle/Plateforme, peut-être dans le thème (qui dit que le serpent n'est pas une femelle, hein ??)

Alien Isolation Pour le thème et la flippe, avec une héroïne poursuivie par un symbole phallique. Tout un programme.

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://steamcommunity.com/id/papanono/stats/387290/achievements/

Commentaire :

Avec Ori, j'ai été comblé côté gameplay. Exigeant vu mon niveau (on va dire "modeste mais persévérant". Mais jamais frustrant, tant on a de quoi manier notre personnage.
Et n'ai jamais vu un jeu aussi mignon sans tomber dans l'écœurant, et j'aurais vraiment pris beaucoup de plaisir à retourner le moindre caillou pour récolter tous les bonus cachés.

Malheureusement, la fin est sans appel, et il n'y a pas de New Game +. Je le regrette d'autant plus que je suis complètement passé à côté des deux niveaux facultatifs de la Definitive Edition. Je n'aurais pas dit non pour un peu de rab !

Terminé le : 26/03/2021

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

On commence tout doux avec Milkmaid of the Milky Way (2h) et son héroïne
On enchaîne avec Orwell et sa dystopie qui fait réfléchir (si on se laisse prendre par l'histoire, moi j'ai accroché) (5h + la possibilité de faire la suite environ 3h)
>observer_ nous projette lui aussi dans le futur, il y a du cyber et des références à mon Blade Runner chéri (7h)
Hexcells nous détache de tout ça pour nous plonger dans la réflexion et la logique (2h), attention en cas de manque, les versions Plus et Infinite risquent de rejoindre ton catalogue de jeux... mais quel plaisir !
Terminons sur Inside, un véritable indispensable pour moi (4h)

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://ibb.co/cX8qgbP

Commentaire :

J’ai donc fini « Laitière de la voie lactée » ! J’indique le titre en français car ce jeu m’a placé tout du long face à un dilemme : faut-il y jouer en français ou en Anglais ? Ce n’est pas anodin car ce jeu d’aventure tire son charme indéniable d’une spécificité rare : il est entièrement écrit en rimes, des dialogues aux descriptions. Or, la langue de Molière est l’une des rares à avoir bénéficié d’une traduction. J’ai donc passé mon temps à naviguer entre la Milkmaid et la laitière, afin d’apprécier les différences et le travail d’adaptation du traducteur (très honnête) ; le français nécessitant souvent beaucoup plus de mots que l’anglais pour exprimer la même chose, car nous somme un peuple prolixe (et fier !).

J’ai vraiment apprécié cette poétique du point & click, qui donne au jeu un ton unique et adorable à l’image de son héroïne, une blondinette perdue dans son fjord, attachée à sa vache et qui baratte jusqu’aux étoiles. Le jeu aurait d’ailleurs vraiment gagné à être doublé. Pour le reste, les énigmes s’avèrent plutôt simples, les graphismes pixelisés sont agréables et l’histoire tient du conte. Je vois un seul défaut flagrant : la trop grande brièveté du titre qu’on peut faire d’une traite, ce qui est vache. Un joli jeu dans l’ensemble.

Terminé le : 31/03/2021

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://ibb.co/VBCPMKf

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J'ai fini Orwell

On y incarne un agent recruté par la nation dont la fonction consiste à surveiller un groupe potentiellement terroriste via un nouveau logiciel d'espionnage global, le bien nommé Orwell.

Orwell est un jeu narratif qui sait tirer parti d'un des principaux passe-temps de l'Homme moderne : trainer sans fin sur internet en cliquant sur des trucs avec l’œil vague. On naviguera donc entre des articles d'actualité type le Monde, des blogs de gauchistes énervés (avec son indispensable section commentaire), des pages du Facebook local, des sites commerciaux ou d'entreprise... Mais, surveillance oblige, nous seront aussi amenés à espionner des messageries privées, des mails personnels, des conversations téléphoniques...

L'essentiel du gameplay se résume à la subtile technique du "drag and drop" : choisir les informations pertinentes et les glisser dans le dossier de notre cible. Nos choix influent évidemment sur l'histoire et les fins possibles. C'est donc très basique, mais j'ai été surpris de me prendre au jeu, sans pour autant me passionner pour les tombereaux de textes qui s'affichent au mètre sur l'écran. Car d'une certaine façon, le jeu est d'une écriture remarquable : les textes des différents sites/conversations/blog sont aussi ennuyeux que des vrais ! Le jeu m'a donc poussé à la lecture rapide, aussi dite en diagonale, un bon exercice pour qui veut améliorer sa pratique (à utiliser dans les écoles !)

Les thèmes abordés (en gros sécurité vs libertés) sont intéressants sans être d'une folle originalité, et j'ai à peu près obtenu la fin que je désirais. Donc, pas une révélation de mon côté, mais un moment sympa.

Terminé le : 02/04/2021

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.postimg.cc/Rhr4fT7W/Hexcells.jpg

Commentaire :

Un jeu de puzzles, genre Sudoku, sans aucune narration mais accompagné d’une musique planante et de notes aériennes pianotées à chaque clic, ce qui amplifie son atmosphère zen et reposante. A part que ça n’a strictement rien à voir avec le Sudoku, ça serait plus proche du jeu de Go, en fait. Ou pas ? Bref, le plus simple reste d’essayer (expliquer les règles d’un jeu de réflexion, c’est bien trop laborieux). Habituellement, je ne suis pas vraiment client des puzzles games “pur et dur” sans aucun enrobage narratif, mais celui-ci s’avère quand même vachement bien foutu. J’explorais sans doute les suites à l'occasion, bien que je n’y “Hexcells” pas (jeu de mots !).

Terminé le : 27/03/2021

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://ibb.co/gWDcC1P

Commentaire :

Dans Inside, on incarne un enfant cherchant à fuir une société post-apocalyptique (ou une dystopie fasciste) dans laquelle il ne fait pas bon vivre. Plus ou moins.
Le petit garçon d’Inside, face à un monde très hostile, cherche à échapper à ses poursuivants multiples (adultes en uniformes, chiens méchants, machines, créatures aquatiques…), un peu à la façon d’un die and Retry de l’ancien temps. L’essentiel du gameplay consiste à résoudre des petites énigmes, à de l’infiltration légère et à courir vers la droite. Mais en fait, derrière ce petit jeu d’action/aventure et de puzzle light, se cache une très sympathique simulation de meurtre d’enfant !

Dans l’ensemble, si je reconnais au titre une ambiance glauque et oppressante assez réussie, je n’ai pas été embarqué par ce jeu. Je n’ai pourtant rien de bien précis à lui reprocher. Peut-être l’histoire obtuse et allégorique qui m’a laissé de marbre ? Ou plutôt les puzzles trop simples pour être captivants, qui ne permettent pas de camoufler la lourdeur de certaines mécaniques, comme ces longs déplacements un poil laborieux dans des décors vides ? Ou encore ces séquences aquatiques agaçantes avec un personnage incapable de retenir sa respiration plus de 10 secondes (ce n’est pas Guybrush Threepwood)... Bref. Je n’ai pas trouvé le jeu désagréable mais je n’ai pas vraiment regretté d’en venir à bout en 4 ou 5 heures.

Terminé le : 28/03/2021

Batman : Arkham Asylum (15 heures)

Afin de péter un peu des genoux et de remettre de l’ordre à l’asile d'Arkham, je propose l’emblématique Batman Arkham Asylum, très bon jeu d’action/aventure ponctué de quelques petites énigmes de l’homme mystère.

Frostpunk (de 10 à 20 heures)

Pour se rafraîchir en cette période estivale, pourquoi pas une partie du gai et primesautier Frostpunk ? Un survival/stratégie/gestion qui te fera découvrir quel genre de leader tu es !

Grim Fandango Remastered (11 heures)

Alors, oui, pour illustrer le thème de la révolution, j’aurais pu choisir Deus Ex: Human Revolution. Trop évident ! On va plutôt opter pour un vieux point & Click qui plonge le joueur au pays des morts ambiance Mariachi, avec humour, style et énigmes (parfois) alambiquées. Et Viva la Revolution !

Shantae and the Pirate's Curse (8 heures)

Un très sympathique et très coloré jeu de plate-forme. C’est frais, rigolo et pas trop trop dur.

The Stanley Parable (2 heures)

Une "expérience" très courte qui joue avec humour et réflexion sur les codes de la narration et interroge la liberté toujours illusoire du joueur.

Shadowrun Returns (12 heures)

Un RPG tour par tour isométrique qui permet d’apprécier un univers cyberpunk assez léché sans se perdre dans un jeu qui n’en finit pas. Une bonne intro à la licence Shadowrun.

Bon voilà, j’ai essayé de panacher les genres, j’espère que tu y trouveras ton compte.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/QPXvTWb/srr.jpg

Commentaire :

Le premier de la série de jeux Batman Arkham.
Quoi dire. C'est du Batman beau et pur. Je n'arrive pas à trouver une seule chose que je n'ai pas aimé.

Les graphismes sont très bien pour un jeu du 2010 en 2021. Musique à la Christopher Nolan. Le voice acting excellent. L'histoire super intrigante à partir du premier instant. Les environnements très détaillés qui mettent l'ambiance parfaite pour l'asile et son île. Du coup, super atmosphère.

Les personnages sont hyper bien faits, leur personnalité distinctive parfaitement mise en scène. Et il y en a plein. L'ennemi principal est un, mais l'histoire se déroule dynamique et nous permet de rencontrer plusieurs visages célèbres.

On voit clairement les bases déjà très bonnes qui ont permis un plus haut niveau de mécaniques de jeu dans le chapitre suivant, Arkham City. Le gameplay est fluid et jamais ennuyeux ou répétitif, au contraire il est très varié. Le jeu nous offre tout le temps des sections différentes. Stealth, action, petits puzzles, etc.
Tout au long de l'experience il y a des nouveaux elements qui s'ajoutent à notre arsenal et qui nous laissent la possibilité de choisir comment on préfère affronter les situations.
Le système de combat ? Probablement le meilleure que j'ai jamais testé. Le slow-mo, les movements, ce qu'on peut faire... super bien conçu et très satisfaisant.

Les "collectionists" parmi nous vont largement profiter de tous les Riddle's Challenges. Beaucoup moins compliqués et répétitifs que dans Arkham City. Et les enregistrements qu'on peut trouver dans les niveaux offrent des petits moments pour se poser et s'amuser avec les petites histoires des nos criminels préférés.
Bon j'ai tout dit non ? Il y a vraiment rien qui m'a pas assez plu. Même quand on meurt il y a une petite scène avec les personnages et c'est pas juste l'écran noir "GAME OVER".

Le jeu offre aussi du contenu style arcade, des challenges etc, pas lié à l'histoire mais juste pour s'amuser. J'ai testé un peu et c'est bien mais c'est pas mon truc.

Franchement un très, très, TRÈS bon jeu d'action. Et puis c'est BATMAN quoi. Le meilleur super-héros pour moi.
Vraiment chouette. J'ai adoré. Je vais surement récupérer les deux qui me restent de la même série.

Terminé le : 17/07/2021

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/Q8hDTDD/sp.jpg

Commentaire :

Je me suis beaucoup plainte mais au final je l'ai adoré.
Le scénario original, la mise en scène, la musique, les graphismes, tout est excellent.
Niveau gameplay, la base reste la même que la plupart de jeux de gestion, avec des elements en plus qui s'ajoutent au fur et à mesure. Ce n'est pas facile au debut, surtout pour quelqu'un comme moi vraiment pas douée pour ce type de jeu, mais même avec toutes les échecs il devient très addictif très vite.
Sûrement le meilleur jeu de gestion au quel j'ai jamais joué. Il a vraiment quelque chose en plus.

Terminé le : 04/07/2021

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://i.ibb.co/7bVr7Vx/srr.jpg

Commentaire :

Grim Fandango Remastered est un classique des aventures point-and-click.

J'avais vraiment envie d'y jouer parce que si je ne me trompe pas, c'est vraiment un des premiers jeux vidéos auxquels j'ai jamais joué. Je crois que j'avais la version physique même, perdue je sais pas où ni quand. J'étais vraiment petite à l'époque, surement je ne savais même pas que c'était un jeu de puzzle, et j'ai jamais réussi à progresser après le premier écran.

En plus j'en ai toujours très bien entendu parler, du coup j'avais hâte de m'y mettre. Malheureusement j'avoue que je suis un peu déçue.
Le jeu malgré "remastered" est plein de bug. Certains "gamebreaking', que j'ai eu la chance de pas avoir. Mais j'en ai rencontré vraiment pas mal. Je ne sais pas combien de fois j'ai du tuer la session pour tout relancer. Certains bug ont des solutions qu'on peut pas deviner sauf si on regarde sur internet. Et s'il faut relancer le jeu il faut bien espérer d'avoir sauvegardé assez récemment parce qu'il n'y a pas un système de sauvegarde automatique.
J'ai eu plein de soucis par rapport aux contrôles. Il y a des sections où il faut en utiliser certains et ils marchent pas, ce qui rend pas facile d'accomplir l'objectif.
Finalement je trouve la difficulté des puzzles vraiment élevée. Peut être c'est moi qui est nulle mais j'ai du regarder une guide. Certaines choses sont trop compliquées, je comprends pas comment on est censé arriver à certaines solutions. Surtout que parfois il faut interagir avec des objects qui font partie du décor (mêmes couleurs, même "épaisseur", etc) et c'est impossible de savoir qu'on peut tout à fait faire des choses avec.

Maintenant le positif. Les personnages sont super, les dialogues rigolos avec un bon voice acting. L'histoire est engageante et intéressante. La musique est vraiment pas mal. L'univers dans lequel l'histoire se déroule est très original et les graphismes dans la version Remastered sont vraiment pas mal pour un vieux jeu. C'est sans doute tout ça qui m'a permis de rester accrochée jusqu'au bout et qui a permis à ce jeu de devenir un grand classique.
Je suis contente d'avoir finalmente complété un jeu de mon enfance, mais je trouve qu'il est vraiment mal optimisé.

En général je me suis bien amusée à part pour les puzzle bizarres et les bug.
Je le conseille à ceux qui sont très patients et qui aiment vraiment beaucoup les jeux des puzzles à l'ancienne.

Terminé le : 19/07/2021

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/ByfY0sL/20210711203144-1.jpg

Commentaire :

Shantae and the Pirate's Curse.

C'était mon premier jeu de la série et je suis bien contente de l'avoir essayé.
Un jeu de plateforme/aventure avec des mécaniques intéressantes, très agréable à jouer malgré les petits pics de difficulté sur les derniers niveaux. J'avoue que c'est moi qui n'est pas douée. Le jeu reste correct et il n'y a rien d' "impossible".
J'ai adoré la musique, vraiment chouette. Les couleurs du jeu et les environnements sont super bien faits, c'est vraiment beau malgré les pixels (que j'aime pas d'habitude).
Les personnages sont sympa et l'histoire juste assez intéressante.

Le seul truc qui m'a pas trop plu est le choix artistique pour le design des personnages feminines. Toutes les filles ont des seins qui semblent sortir de leur vêtements en permanence, sur les models en pixels les seins rebondissent, il y en a même sur les ennemis pas humains, il y a des blagues sur qui parmi les filles a la poitrine plus grosse etc, eye candy, fan service tout ça.
Je suis bien cosciente qu'il y a beaucoup pire dans les jeux vidéos et comparé à certaines choses ça reste rien du tout, mais bon quand il y a toute une section du jeu où les 4 personnages principaux se retrouvent avec des tenues qui couvrent rien du tout, c'est difficile de pas lever les yeux au ciel.

Je pense juste que c'est un petit peu exagéré en termes de quantité (si c'était juste la protagoniste par exemple pourquoi pas, après tout elle est une danseuse du ventre dans le desert).
Pour mes goûts personnels le jeu aurait été aussi bien sans autant de contenu audacieux.
Ca reste un très bon jeu que j'ai aimé, et malgré tout j'aimerais bien récupérer les autres chapitres de la série.

Terminé le : 11/07/2021

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://i.ibb.co/DDtFxZp/sp.jpg

Commentaire :

Un jeu bizarre et original. Il y a pas grand chose à dire. Il est marrant et c'est chouette de le refaire plusieurs fois soit pour les succès soit pour le plaisir de la découverte mais c'est tout, je n'ai pas vu la grande ouvre d'art que beaucoup de monde avait vu à sa sortie.

C'est sympa mais pas plus.

Terminé le : 02/07/2021

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/CmHFW9q/srr.jpg

Commentaire :

Shadowrun Returns est un jeu turn-based qui se déroule dans un univers qui est un mélange de cyberpunk et sci-fi.

L'ambiance est super, bien construite avec la musique et les environnements. Je suis pas trop fan des jeux isométriques et top-down du coup j'étais un public difficile, mais l'histoire est assez intrigante et les dialogues si bien faits que j'ai toujours continué à vouloir jouer.

Le gameplay et les mécaniques du jeu sont pas mal même si ça commence à vieillir en 2021. Des fois je me suis un peu ennuyée, certains combats duraient très longtemps. Et j'ai du chercher certains trucs sur internet parce que le jeu n'explique pas tous les commands. Des fois c'est impossible de sauvegarder du coup si tu meurs il faut refaire tout un chapitre. Bref des fois j'étais frustrée.

Mais il y a plein de manières de jouer et gagner, pleins de techniques, personnages et objects à utiliser comme on veut. Sur cet aspect rien à redire.
Je pense que le turn-based n'est pas mon type de jeu préféré, mais au final rien que pour l'histoire et l'atmosphère j'ai pas mal aimé, et malgré tout c'était bien satisfaisant de sortir de certaines situations avec 1 HP et 3 personnages sur 4 morts

Terminé le : 13/07/2021

Ma liste pour Mordicus (heureusement qu'il y a un Google Doc vu que ton profil Steam est privé) :
- Stick it to The Man! (4-5h) : Un ovni que j'avais adoré à l'époque ! A faire en priorité, pour ne pas le laisser dormir dans cette catégorie "Autre - Fonds de bundles" où il est.
- The Darkness 2 (6-8h) : Un jeu très brutal et, il me semble, d'une difficulté relativement accessible. J'avais adoré le jeu à l'époque.
- Late Shift (1-2h) : Un FMV sympa, avec cependant un défaut génant (pas moyen de passer des vidéos). Normalement, la re-jouabilité est bonne. Perso, j'avais passé un bon moment dessus. Pas de puzzles ici cependant, juste des choix de dialogues (si je me souviens bien).
- Tsioque (3h) : Un point'n click (encore) sympa, que j'avais kickstarté à l'époque. J'ai bien aimé aussi.
- Dust: An Elysian Tail (10-13h) : Histoire de changer un peu de style, un jeu de plate-formes / metroidvania. La difficulté est bien dosée et le jeu assez fun. On me l'a proposé dans un précédent event et j'avais au final adoré alors que je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre.
- Full Throttle Remastered (4h) : Un point'n click Lucasart plutôt moyen en ce qui concerne les puzzles, mais l'histoire est intéressante. Le jeu du thème, c'est celui-ci : Qui d'autre que des motards pour incarner la révolution ?

Voilà, j'espère que ça te plaira. J'ai suivi ta recommandation sur ton profil et mis de bons jeux d'aventure. Il y en a cependant encore plein d'autres dans ton backlog à recommander/faire (Puzzle Agent, Syberia 2, Brutal Legend, les Sam & Max, Whispers of a Machine, Technobabylon, Night in the Woods, Oxenfree, The Darkside Detective, The Wolf Among Us, The Rise of the Tomb Raider...).

Bon amusement !

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/0QSkwYr/STICK-IT.jpg

Commentaire :

Suite à un accident, Ray, un type sans histoire, se retrouve doté d’étranges pouvoirs : un spaghetti psychique lui pousse sur le crane et lui permet de lire les pensées d’autrui ainsi que de matérialiser certains objets ! Mais de grands pouvoirs impliquent de grandes galères : un homme mystérieux, surnommé avec un rare à propos "l’homme" le traque, avec son armée de gros bras, pour lui arracher la source de ses pouvoirs...

Un jeu très sympathique. Niveau gameplay, on est sur un mélange de plate-forme/infiltration et de petites énigmes façon point & Click. Le jeu ne brille pas particulièrement sur ces deux points, l’infiltration reste sommaire et les puzzles beaucoup trop simples. Mais c’est tout l’enrobage qui fait la différence : les graphismes 2D sont en mode livres "pop up", les musiques groovy placent l’ambiance et le jeu cultive le loufoque avec un humour omniprésent, le héros étant capable de lire les pensées de personnages plus frapadingues les uns que les autres. En fait, avec ce type d’écriture et l'aspect exploration mentale façon "Psychonauts", on dirait vraiment un jeu qu’aurait pu concevoir ce rigolo de Tim Schafer. Pour résumer : léger niveau gameplay mais la fantaisie de l'ensemble et les qualités esthétiques du titre permettent de passer un agréable moment.

Terminé le : 04/07/2021

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://i.ibb.co/DWhChz8/Darkness-II-2021-08-26-20-52-47-64.png

Commentaire :

Je viens de finir The Darkness II, le dernier jeu de ma sélection. Pas grand chose à dire sur celui-ci. Le FPS en général est loin d'être mon genre de prédilection, pour une excellente raison : je suis nul. Les seuls FPS auxquels j'ai accroché sont des FPS/RPG du type System Shock 2, où je peux atténuer mon incapacité chronique à tirer sur des choses par d'autres qualités moins flamboyantes comme la patience, la prudence, la gestion rigoureuse et systématique de l'inventaire, les choix pertinents dans l'arbre de compétence...

Mais avec The Darkness II, difficile de biaiser : c'est du bourrinage à la kalach, de l'éviscération à coups de tentacules démoniaques. Le tout au Pad, ce qui rend la chose trois fois pires car je suis incapable de viser avec un stick (on peut jouer au clavier/souris mais ça demande un effort d'adaptation à un jeu qui vous pousse en permanence vers la manette...)

Bref, lorsque j'ai commencé à peiner devant le premier boss en mode normal, je me suis dit qu'il était tant d'embrasser ma nature profonde de noob, tel Jackie Estacado acceptant le Dakness qui sommeille en lui. J'ai donc passé le jeu en mode facile, ce qui rend notre personnage pratiquement immortel. Et là, j'ai pu m'amuser à démembrer des gens en toute quiétude ! Un défouloir sans frustration qui apporte une honnête dose d'hémoglobine et de gore. Sans ça, je n'y aurais sans doute pas joué jusqu'au bout, trop peu impliqué par une histoire pas sans intérêt, mais très classique.

Terminé le : 26/08/2021

Evaluation : Pas aimé

Preuve : https://i.ibb.co/Sn34wCj/La.jpg

Commentaire :

En job de nuit, un étudiant officie comme gardien de parking pour gros friqués. Mais alors qu'il prend son service pour une longue soirée d'ennui, rien ne se passe comme prévu...

J'ai toujours eu une affection particulière pour les FMV, mais de mon temps, les FMV étaient des jeux d'aventure avec des séquences filmées en guise de cinématiques (je pense à Under a Killing Moon, Gabriel Knight 2...) Ici, nous avons à faire à une autre espèce de FMV : le film interactif et rien de plus. On prend quelques décisions en temps limité pour influer sur la suite et l'histoire se déroule sous nos yeux plus ou moins ébahis.

La qualité aussi bien artistique que technique a bien évolué depuis les années 90. Mais les FMV façon Sierra étaient avant tout des jeux, avec un vrai gameplay, des mécaniques de point & click... Ca permettait d'accepter les errements techniques, la qualité nanardesque de certaines séquences, le jeu d'acteur de seconde zone... Dans Late Shift, il n'y a rien à part le film. Et ce film, honnête téléfilm honnêtement filmé, déroulant un récit simpliste pas toujours très cohérent, je ne l'aurais jamais regardé en temps normal !

Vous allez me dire : oui, mais il y a les embranchements, l'histoire qui bifurque de façon inattendue suivant nos choix et incite à rejouer. Sur ce point, Late Shift commet une faute impardonnable, incompréhensible, pour ne pas dire suicidaire : on ne peut pas sauter les séquences, ni même accéder à un quelconque chapitrage. Bref, il faut tout se retaper du début, apprécier chaque scène dans son intégralité pour modifier le moindre choix (aucune possibilité de sauvegarder pour revenir en arrière, évidemment). Perso, j'ai supporté ça une fois, à cause d'un embranchement loupé suite à un choix mal compris, mais je vais arrêter là. J'ai de biens meilleurs films à voir !

Terminé le : 21/07/2021

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/q99KxdH/TSIOQUE.jpg

Commentaire :

Alors que sa mère est partie guerroyer au loin, une jeune princesse est faite prisonnière par le mage maléfique du royaume...

Voilà donc un jeu que j'ai "kickstarté" en son temps avant de l'oublier dans un coin de mon backlog pléthorique. Au premier abord, il m'a fait penser à un point & Click pour enfants, type les jeux scooby doo (Et le manoir hanté, et la ville fantôme...) On y retrouve les mêmes principes : un personnage qu'on ne dirige pas directement (on lui indique juste les actions à effectuer), des animations rigolotes lorsqu'on clique sur les éléments interactifs du décor, une interface simplifiée au maximum avec clic gauche unique pour toutes les actions, quelques mini-jeux pour varier les plaisirs entre deux énigmes, aucun choix de dialogues, l'héroïne étant muette... Enfin, un style graphique et d'animation proche du dessin-animé, avec son lot de séquences burlesques.

Alors, pour nous autres, les poilus du jeux d'aventure, il n'y a rien à voir, juste à circuler devant ces enfantillages ? Pas tout à fait. Car sans être vraiment difficiles, les énigmes s'avèrent suffisamment élaborées pour susciter l'intérêt de l'adulte. On a vraiment l'impression que le jeu a été conçu pour être joué en binôme : un enfant qui s'amuse devant les animations marrantes et un adulte qui l'aide et l'initie aux joies des puzzles façon point & click. C'est le jeu parfait pour faire découvrir le genre à un petit frère, une nièce, un fils ou une fille dont la main potelée se pose pour la première fois sur les boutons d’une souris. Et ce n'est pas étranger au thème même du jeu qui, sans rien déflorer, se nuance d’aspects moins simplistes que ne le suggère son très générique pitch de départ. Là encore, son histoire, à l'arrière ton un peu mélancolique, pourra aussi bien parler aux grands qu'aux plus jeunes.

Et si vous ne connaissez pas de mioches ?? vous passerez quand même un bon moment, car le jeu est trop choupinou et les énigmes sympas. Ça se boucle en 3 - 4 heures sans trop forcer (mais j'ai quand même réussi à bloquer une fois ou deux !) Encore une bonne pioche pour moi.

Terminé le : 06/07/2021

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/CV0GyWN/DUST-FIN.jpg

Commentaire :

Fini Dust - An Elysian Tail et je me suis surpris à passer un bon moment sur ce jeu. Surpris, car les dilemmes moraux d’une sorte de chat anthropomorphe accompagné d’un écureuil volant et d’une épée qui parle dans une histoire à la Final Fantasy, ne suscitent pas à priori chez moi un intérêt très marqué !

Côté scénario, nous avons donc un héros amnésique (du jamais vu) qui rencontre bien vite son sidekick comique (l'écureuil) et sa mission (confiée par l'épée bavarde) : mettre la misère au général Gaïus, le tortionnaire local, et, accessoirement, en apprendre plus sur soi. Le tout dans un monde type heroïc-Fantasy aussi chatoyant que japonisant. Les paysages enchanteurs, l'animation fluide et la musique de qualité nous plonge bien vite dans cette ambiance de film d’animation façon soleil levant (un peu à la manière de Ori, en moins joli quand même).

Côté gameplay, nous sommes sur du Metroïdvania pas très exigeant, avec un fond de J-RPG. Notre personnage débloque des capacités lui permettant d’accéder à des lieux précédemment inaccessibles, mais il gagne aussi des niveaux, afin d’améliorer sa barre de vie, sa défense ou ses aptitudes au combat. J’ai bien aimé cet aspect, car il permet d’un peu personnaliser son expérience de jeu. J’ai surtout favorisé l’attaque, ce qui me rendait fragile au moindre dommage mais permettait d'écourter les combats à coups de combos ravageurs. En effet, le jeu fonctionne suivant un système de combos peu complexe : on nous en montre deux ou trois au départ et puis c'est marre. Le reste se fera en appuyant sur les boutons tel un forcené et en utilisant les capacités ultra puissantes de l'écureuil volant (dont la fonction ne se limite donc pas à être mignon et à débiter des blagues nazes). Gameplay idéal pour mes capacités très relatives ! J’ai fait le jeu en "difficile" sans jamais vraiment souffrir.

Il y a aussi un inventaire pour améliorer armes et armures, un système de craft pas très utile par manque de matières premières et un marchand itinérant pour se bourrer les poches de sushis ou autres kebabs revigorants. Enfin, dernier aspect RPGesque : les missions secondaires, qui consistent de façon très traditionnelle à faire les courses pour tous les "furries" du coin.

Bref, même si j’ai passé la plupart des dialogues en avance rapide (améliorant ainsi ma technique de lecture en diagonale), j’ai trouvé l’expérience de jeu sympathique, pas prise de tête et durant juste le temps qu’il faut pour éviter la lassitude.

Terminé le : 26/07/2021

Evaluation : Pas aimé

Preuve : https://i.ibb.co/gWKqRxG/Throttle-2021-07-31-00-31-20-10.png

Commentaire :

En tant qu'aventurier aguerri, j'avais déjà pratiqué ce jeu à l'époque, sans grand enthousiasme : trop court, trop facile (ce qui fait de lui un précurseur de ce que deviendra le genre...) Par contre, j'avais oublié à quel point les énigmes peuvent être pénibles. Il y a l'atroce séquence du chien à la casse, les abominables combats de motards, le déplorable derby ! Et enfin, toute la séquence finale, qui tourne au "die and retry" avec une succession de pseudo-énigmes en temps limité, obligeant à se retaper les cinématiques en cas d'erreur. Les autres puzzles sont simplistes et consistent souvent à tirer des coups de pompe dans tout ce qui bouge (ou ne bouge pas). Aucune combinaison d'objets dans l'inventaire, peu de lieux à explorer, des éléments interactifs réduits à minima ou presque... Et pas grand monde sur qui exercer son art du dialogue.

Le scénario ne vise pas non plus à la complexité, et l'ensemble se boucle en 4 ou 5 heures sans trop de regret. Reste l'ambiance des bikers, l'enrobage musical et les doublages, qui apportent un peu d'intérêt au titre. En fait, Full Throttle, c'est le jeu LucasArt qui gagne à ne pas être connu : quelques screenshots, une réplique ou deux tirées d'une cinématique façon dessin-animé, quelques titres énervés de la BO... inutile d’aller plus loin au risque d'être déçu.

Un mot aussi sur l'aspect Remastered qui ne m'a pas complétement convaincu. Déjà, c'était l’occasion de retravailler ces séquences d'actions lourdingues (voir de les supprimer ?) mais non, elles restent dans leur glorieux jus d'époque, toujours aussi nazes. Si la VO a bénéficié de toute l'attention des développeurs et se trouve belle et bien dépoussiérée, ce n'est pas vraiment le cas de la VF (mauvaises synchro labiale, son faible, bugs...). Du coup, j'ai fait le jeu en VO. Enfin, si les graphismes ont été retravaillés pour offrir du plein écran de bon aloi et une netteté loin de la bouillie de pixels d'antan, je trouve qu'ils perdent en personnalité, en rugosité. Cet aspect lisse et propret donne un désert rutilant, la poussière en parait propre ! Certaines animations ont sauté même, comme les gouttes qui tombent dans la caverne des Bigleux ou les nuages qui bougent derrière l'usine de Moto...

Terminé le : 31/07/2021

Never Alone (Kisima Ingitchuna) Pour le thème de la neige, le jeu s'y passant du début à la fin. Un Jeu de plate-forme pas difficile, qui met en valeur de manière élégante les Inupiat, un peuple originaire d'Alaska (moins de 5h)

Dans The Swapper, il n'a pas l'air de faire chaud non plus. Il s'agit d'un jeu de réflexion/plate forme dans lequel tu devras te mettre en 4 pour en voir le bout (entre 5 et 10h)

Metro 2033 : Un FPS où ça caille sévère et où il faudra refroidir bon nombre d'ennemis. (10 - 15h)

FTL: Faster Than Light : Difficile de ne pas proposer FTL quand on le croise sur une liste ! Ton objectif sera donc de vaincre le boss au niveau facile (entre 12 et 15h ?). Ce qui ne sera que le premier pas vers une merveilleuse aventure obsessionnelle (ou pas)

Remember Me : Un jeu d'action aventure assez joli où l'on tatane du quidam à coups de combos. La direction artistique est vraiment chouette. (10 - 15h)

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : file:///F:/Program%20Files%20(x86)/Steam/userdata/100136370/760/remote/231160/screenshots/20220301152410_1.jpg

Commentaire :

Le jeu que j'ai décidé de me faire pour un event du backlog canard PC. The Swapper est un Puzzle game, axé sur une mécanique intéressante de création de clones qui reproduisent exactement les mêmes mouvements que le personnage que l'on contrôle, tout en pouvant intervertir le personnage contrôlé justement. Avec plusieurs petits éléments qui s'y rajoutent, cela permet la création d'un nombre respectable de puzzles (ni trop peu, ni pas assez). Le jeu ne traine pas trop sur la durée et sait quand s'arrêter, lorsque le concept a suffisamment été exploré. Autour de ça une ambiance mystérieuse pèse, et donne envie de savoir ce qui se passe dans cette station spatiale, sans être non plus très envahissante. J'ai donc fini le jeu, c'était très plaisant, et je me rends maintenant compte que le jeu possède 10 succès, et…. Je n'en ai validé aucun en finissant le jeu… Etrange, ils doivent se débloquer grâce à des éléments cachés que je n'ai pas du trouver. En tout cas, c'était une bonne expérience pour sa durée.

Terminé le : 01/03/2022

Non terminé.

Non terminé.

Non terminé.

Keepsake : Un Point n Click de la moitié des années 2000, j'avais téléchargé la démo à l'époque. Je ne sais pas ce que ça vaut, mais ça a au moins l'avantage d'être court.
Edgar - Bokbok in Boulzac : Un Point n Click qui a l'air bien déjanté (et le nom de ce jeu ...)
Désiré : Dernier Point n Click de la liste, je l'ai fait et je ne sais toujours pas quoi en penser. Certains sujets traités sont intéressants, je suis curieux d'avoir ton retour dessus.
A Plague Tale: Innocence : Il est dans ma wishlist.
Celeste : Le jeu du thème. Je l'ai fait lors de mon premier event du backlog il y a tout juste un an. J'ai beaucoup aimé.

Non terminé.

Evaluation : Moyennement aimé

Preuve : https://ibb.co/yqt3Q2v

Commentaire :

Edgar Bokbok à Boulzac, est un jeu d'aventure dans lequel on joue un dingo qui cultive ses courges avec amour et ne se déplace jamais sans sa poule de compagnie. Les choses se compliquent lorsque son appareil anti-parasite se détraque, faute d'un métal précieux extrêmement rare… Il faut sauver les courges, pépéte ! (pépéte étant la poule).

Un jeu d'aventure, d'accord, mais pas un point & click car le jeu se dirige à la manette ou au clavier. Mais d'ailleurs, est-ce vraiment un jeu d'aventure ?? Le gros défaut de cet Edgar là, le bokkok dans le Boulzac si je puis dire, vient du fait que les concepteurs ont décidé de résoudre les énigmes à notre place. Edgar possède bien un inventaire, mais impossible d'interagir avec lui. On peut simplement l'admirer et laisser notre amateur de gallinacés faire usage de nos trouvailles suivant les besoins de l'intrigue. Bref, on passe notre temps à arpenter le petit village de Boulzac, en cliquant partout, le jeu se résolvant de lui-même sans plus d'interactions de notre part. C'est bien dommage, car le reste s'avère plutôt convaincant : des graphismes corrects, un scénario farfelu comme il faut, et - point fort du jeu - des dialogues gouailleurs, à l'argotique franchouillard, amusants et bien écrits.

Terminé le : 03/04/2022

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://ibb.co/3m90CRn

Commentaire :

En voilà un point & Click des plus curieux ! Il nous place dans les pompes d'un type atteint d'achromatie (l'incapacité à voir les couleurs) de la petite enfance à la quarantaine bien sonnée. Le problème, c'est qu'il est toujours à côté de ses pompes, notre héros. Enfin, héros, il faut le dire vite : rarement un personnage n'aura autant cultivé l'amoralité en prenant un air si mélancolique. Les héros de Point & Click sont toujours portés sur la cleptomanie, mais Désiré accumule les vices et les actions douteuses à un tout autre niveau : mensonge, vol, brutalité sur personne âgé, empoisonnement, trahison ! N'en jetez plus : Désiré ne fait pratiquement aucune action positive durant tout le jeu.

Comme le titre le suggère finement, Désiré traite avant tout du désir. Pas un désir solaire ou émancipateur, plutôt le désir dans sa forme pulsionnelle la plus misérable, glauque, le désir de la bête aux ignobles secrets, tapie dans un recoin sombre du cerveau humain. Imaginez les pratiques sexuelles les plus perverses, les pulsions les plus dépravées : le jeu en fera mention à un moment ou un autre (oui, même celle-là !)

En fait, l'achromatie du personnage principal semble une métaphore de son handicap moral et existentiel : le héros souffre d'un nihilisme total, qui rend le monde gris, atone, ce qui transparait dans ses actes, mais aussi ses discussions (avec une féministe, une activiste..). La seule action généreuse et désintéressée du jeu lui permettra d'entrevoir les couleurs, de les effleurer par le biais de la poésie… Voilà pour l'explication de texte. Mais, souris en main, cette accumulation de noirceurs frise parfois le ridicule, tant la barque parait chargée. Ça reste cependant un jeu atypique, très personnel (beaucoup de références parleront aux enfants des années 80), intéressant dans sa tentative. Les énigmes sont peu complexes, mais elles existent, ce qui est déjà un plus dans la production actuelle !

Terminé le : 03/04/2022

Non terminé.

Non terminé.

Into the Breach (5h) Ce jeu peut être considéré comme faisant partie du thème, car il s'agit de coordonner l'action de trois méchas afin d'éliminer d'infâmes extraterrestres. Un excellent jeu de stratégie par les créateurs de FTL. Pour le valider, il te faudra gagner une partie au niveau facile avec n'importe quelle équipe.

Resident Evil 2 (9 heures) : Il y a beaucoup de Resident Evil dans tes listes, et je me demande si tu n'y as vraiment pas joué. Je choisis le remake du 2, car il est plébiscité et tu sembles bien aimer les univers macabres ! (mais j'aurais aussi bien pu choisir le remake, plus ancien, du 1...)

Dex (11h) : Un sympathique action/RPG "light" dans un univers Cyberpunk.

Cuphead (11h) : je n'ai pas joué à celui-ci, mais il est vraiment très joli ! Ça donne envie même à moi qui suis nul à ce genre de jeu. De plus, on peut y jouer en coop semble-t-il, ça fait un deuxième jeu dans le thème.

Non terminé.

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : Succès Steam

Commentaire :

Leon A. Sans surprise, très bon.

Personnellement pas super fan de Mr.X que j'ai très vite trouvé beaucoup plus pénible que flippant et on me fera difficilement croire qu'il ne se téléporte pas ce bâtard. Quelques soupirs sur les choppes de zombis qui ont parfois une petite tendance au 360 noscope un poil pénible. Les boss sont pas foufous non plus, même s'ils testent assez bien la capacité à avoir économisé les ressources donc jouent globalement leur rôle.
Je trouve un peu dommage sur la fin aussi le côté plus réaliste/drama que la vielle version un poil plus nanardesque, je pense que ça colle moins bien, surtout vis-à-vis des petites incohérences qui traînent.
Mais bon, globalement c'était très bien tout de même.

Terminé le : 04/03/2023

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : Succès GoG

Commentaire :

GoG m'indique environ 5h30, j'avais peur que ça ne soit bien plus long.

Globalement bien aimé.

La présentation est évidemment au top, les contrôles répondent bien.
Y a pas à tordre du cul, c'est un bon jeu.
Quelques petits reproches pour pinailler tout de même:
- des hitbox pas toujours super évidentes à évaluer au premier coup d’œil. En tant que joueur de shmup elles sont simplement énormes, je me suis fait arnaquer plus d'une fois
- quelques soucis de lisibilité parfois: on a de l'encombrement inutile et probablement sadiquement volontaire du premier plan, ainsi que parfois des éléments au rendu "shader 3d/open GL" qui sont quasiment invisibles dans le reste stylisé cartoon détouré de partout
- quelques pointes de difficulté cheapos tout de même
- le plus gros pour la fin: à partir de la 3e île, la RNG devient assez lourde dans les combats, c'est notamment flagrant sur cette :*ù^° d'abeille de ses morts.

Terminé le : 09/03/2023

Amuse toi bien

Non terminé.

Non terminé.

Evaluation : Bien aimé

Preuve : https://i.ibb.co/ctTT5JD/Yoku-2023-03-07-20-20-08-62.png

Commentaire :

Un jeu très sympathique mêlant plate-forme et flipper. Les personnages sont mignons, les décors chatoyants et la musique emballe le tout dans des rythmes reggae à la cool. Le jeu est très permissif, il n'y a pas de mort possible, on perd juste des fruits qui servent à débloquer des bumpers pour atteindre certaines zones. Le jeu étant par nature labyrinthique, je me suis quand même débrouillé pour me paumer deux fois, et j'ai dû consulter un let's play. Mais c'était entièrement ma faute : lisant à moitié les dialogues et prêtant peu d'attention au scénario, j'ai loupé des trucs évidents ! Mes deux reproches concerneraient le système de quêtes, qui pourrait être plus clair, et l'abominable lasso, que je trouve incontrôlable, mais qui, heureusement, sert peu (surtout pour des trucs optionnels) à part lors d'une séquence d'escalade bien pénible. Un jeu très plaisant dans l'ensemble, que je vais sans doute poursuivre, histoire de récolter encore quelques bricoles...

Terminé le : 07/03/2023

Non terminé.

Non terminé.